dimanche 15 août 2010

Big Jim et le Maître du Rayon


Le Nouveau Pif, n°690, p.25
juillet 1982
éditions Vaillant*

Je ne sais plus ce que j'étais allé chercher dans ce carton de Pif Gadget mais dans ce n°690 du mois de juillet 1982 -dont l'intérêt réside essentiellement pour les pages du Popeye de Bud Sagendorf qu'il contient- je suis tombé sur une des deux réclames pour les mannequins Big Jim de la marque Mattel qu'Hectorvadair avait déjà montrées sur son blog.
D'après Hector, cette illustration serait peut-être due à Didier Savard. Personnellement, son traitement me ferait plutôt pencher pour du Ted Benoit. Je n'en suis néanmoins pas certain, bien d'autres dessinateurs ayant dû œuvrer au studio Jacobs, comme en témoigne par exemple le couvercle de cette boîte de jeu de société découvert chez un brocanteur ce week-end.



Dominique Ehrhard, d'après E.P. Jacobs
éditions Nathan

Alors, qui a raison : Hector, moi, ou aucun de nous deux ?

En tous les cas, une chose est sûre : le pardessus de Big Jim est bel et bien celui du Professeur Mortimer !


(*le gag d'Arthur le Fantôme est bien évidemment de Jean Cézard)

(à suivre...)

******

Une galerie de dessins de Savard :
http://www.delartsurlaplanche.com/auteur.php?id_auteur=3

5 commentaires:

Li-An a dit…

Je pensais qu'il y aurait un rapport avec Toy Story 3, tiens.
Quant à ce "Maître du Rayon", il est prémonitoire: c'est en effet le Maître du Rayon de Supermarché dont on parle ici.

Elouarn a dit…

Ouah ! Jacobs maitre du super-marché, c'est un peu faire fi de l'histoire de la BD je trouve.

Le veston me fait plus penser à celui de Ric Hochet qu'à celui de Blake. Et le style un peu pourri de Harry Dickson.

Quand au puzzle, google nous parle de http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Ehrhard

Totoche Tannenen a dit…

Oui, ça me revient, c'est bien le nom que j'avais lu. Merci Elouarn. Je corrige ça illico.

Li-An a dit…

Qui a parlé de Jacobs, Elouarn :-))

Totoche Tannenen a dit…

Bon, je me suis tapé l'intégralité du beau blogue de Basil Sedbuk
consacré à Ted Benoit et visiblement... ce n'est pas lui. Cherchons encore !